31 juillet 2006

Cyclisme: pourquoi si jaune?

Après le lièvre, le tour de France se met aussi au développement du râble. Il a donc décidé de mettre fin à ce gaspillage de maillot jaunes remis à chaque étape au dealer, euh au leader de la course. Dorénavant, sera désigné vainqueur celui dont le test d'urine arborera le jaune le plus pétant. Contrairement au maillot synthétique, l'urine est biodégradable (encore que dans leur cas, on se demande), et offre l'avantage, important dans le cadre du vélo, d'être... recyclable. Et le dopage aura enfin pignon sur roue. Mais ça n'est pas tout...

On pourrait craindre les effets du dopage sur la descendance de nos amis cyclistes. Et bien, soyons rassurés. Les chances que l'on transmette sa passion de père en fils sont plus réduites pour les cyclistes que pour les curés. Selon un article paru sur le site Largeur.com, on apprend que la pratique du vélo provoque des troubles de l'érection! La pénétration s'apparenterait donc pour ces derniers à un coup dopé dans l'eau. On ne saurait donc trop leur recommander la pratique de la position dite en danseuse, qui s'appelle également régime sans selle (où l'on revient au râble, y'a pas de hasard).

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Je doute effectivement de la "biodégradabilité" du pipi de ces messieurs... Comme dit le dicton : là où cycliste un jour sa vessie soulage, l'herbe jamais au printemps ne renaît...

Z'avaient organisé un tour du Sahara à l'époque???

Anonyme a dit…

Ah flute! Une bien mauvaise nouvelle, alors que je viens de me mettre a pedaler 3 jours par semaine... Je vais retourner sur mon canape, je crois qu'il reste une biere au frigo.

Pilon a dit…

C'est fou, cette versatilité chez les cyclistes. On passe le mois de juillet à vouloir se jaunir, et le mois d'août à vouloir se blanchir...

Anonyme a dit…

Et lorsqu'au détour du Tour on passe par l'artifice du whisky pour jaunir son teint, pas étonnant que le maillot, dans une échappée solitaire, nous glisse entre le mains et qu'on reviennent au premières amoures houblonnesques, satisfait de recouvrer sa puissance virile en s'adonnant au canapéïsme